Après une formation en sciences de la Terre et une spécialité en paléontologie des vertébrés je me suis rapidement orienté vers les applications du paléomagnétisme pour dater des formations sédimentaires, par la magnéto-stratigraphie, en doctorat à Montpellier.
Suite à mon recrutement à Marseille, j’ai orienté mes travaux sur les applications environnementales et plus particulièrement sur le sol.
A mon arrivé à La Rochelle, j’ai commencé à utiliser la mesure du champ magnétique terrestre pour réaliser des prospections, tout en travaillant sur la caractérisation magnétique des matériaux. L’exploration des grottes préhistorique a été le moteur de la mise au point des protocoles novateurs actuellement utilisés à l’université de La Rochelle.